Il avance ce satané contrat, il avance.... Et c'est absolument nécessaire,
car la rentrée arrive avec son cortège de pièces à boucler.
A l'orée d'une période de travail qui s'annonce donc particulièrement intense,
je tente de me débarrasser le plus rapidement possible des quinze dernières
illustrations pour les aventures d'Oscar, le jeune jaguar.
Aller, encore un effort, et encore, et encore.
Le monomaniaque des oiseaux VII
Comment appeler ce dessin ? J'ai pensé à Cimeterre volant. Ou
peut-être Cimetair (grand oiseau), mais dans ce cas il faudrait
rebaptiser le
précédent Cimeterre (vieux bouc). Un sacré dilemme, vous en
conviendrez.
La tombe fleurie du vieux bouc de terre
Explications.
A plusieurs reprises, j'ai malencontreusement fait baver le noir : par ici une goutte est tombée de la plume, par là un coup de manche sur l'encre fraîche a dessiné des traînées... Il a bien fallu que je camoufle ces quelques tâches et bavures, parfaitement disgracieuses ! Or, l'avantage de la couleur pour ce genre de problème est qu'elle permet d'aplatir en une seule les diverses nuances que les rectifications à la gouache ont généré dans le blanc.
Un encadrement sous verre par dessus et on n'y verra que du feu !

Le monomaniaque des oiseaux VI
Cinquième et dernière leçon de gravure : chimère et oiseaux de terre
J'ai suivi mon dernier cours de l'été vendredi de la semaine dernière. Les
quatre heures d'atelier ont suffit pour que deux
plaques de cuivre puissent être enfin imprimées... J'ai donc pu m'entrainer
encore une fois à l'ancrage et à l'essuyage.
Ce n'est pas encore parfait, mais il y a quand même eu du progrès !
Le monomaniaque des oiseaux V
En prévision du cinquième cours de gravure...
J'ai fini de dessiner sur le vernis de mes deux premières plaques de cuivre,
celles qui ont été préparées avec soin par l'ami Chrono et le professeur
Catherine. La première est la reprise partielle d'un dessin à la plume
réalisé il y a quelques jours.
Il ne me "reste plus qu'à" tremper cette plaque dans le percolateur le temps
que le dessin s'incruste dans le métal, chose que je ne peux faire qu'en cours.
Mais voilà, comme les notaires orléanais ont décidé de m'embêter, je ne pourrai
pas prendre ma cinquième leçon vendredi prochain.
Le monomaniaque des oiseaux IV
Quatrième leçon de gravure : le vieux bouc du Carnet d'inspiration
Suite et fin des travaux réalisés pendant le dernier atelier de gravure. En
plus des trois tirages du
Poisson, j'ai bouclé ceux du Vieux bouc qui clôturera mon
Carnet d'inspiration. L'image finale me plait bien, donc j'envisage de la
reprendre sur cuivre...
Orléans J-2
Les perruches de Vincennes
J'ai rencontré pour la première fois ces nouveaux membres de la faune
d'Île-de France à Gonesse, il y a quelques années. D'abord il y en eu quelques
unes me racontait mon cousin, puis on finit par les voir en bandes pouvant
compter quelques dizaines d'individus.
Aujourd'hui, on peut entendre le chant de ces beaux oiseaux jusque dans le bois
de Vincennes : il y en a même une sacrée quantité !
Quatrième leçon de gravure : le poisson du Carnet d'inspiration
J'ai bien travaillé hier après-midi à l'atelier de gravure. Dans la lignée des trois étapes du Merle, voici le trio des Poissons (NB : ça commence à marcher au niveau de l'ancrage) : J'ai aussi bouclé les trois images du Vieux bouc. Elles seront en ligne demain si je ne fais pas le fainéant.
Le monomaniaque des oiseaux III
Leur trésor ne
contient aucune pierre précieuse, pas même une pièce d'or.
Le monomaniaque des oiseaux II
La Carte au trésor
des oiseaux indique un chêne au bord d'une rivière, non loin de
l'endroit où elle se jette dans la mer...
Voilà ce qu'on y trouve :
Le monomaniaque des oiseaux I
Connaissez-vous l'histoire de l'illustrateur jamais content ? Non ? Alors je
vais vous la conter. Il y a fort longtemps, un illustrateur peignait des
oiseaux pour les besoins d'un guide faunistique. Alors qu'il achevait sa
trente-neuvième aquarelle, il se rendit compte qu'il n'en pouvait vraiment
plus, de travailler toutes ces plumes avec son pinceau à trois poils ! Alors,
il commença un jaguar tout en jurant ses grands dieux que plus jamais il ne
dessinerait un oiseau.
Aujourd'hui, il doit peindre des jaguars. Il n'en est qu'au quinzième dessin,
mais déjà il se plaint de toutes leurs tâches. Alors il remplit des feuilles
avec des histoires d'oiseaux et de carte au trésor.
Constellation du daim
On peut dire de ce trophée d'ongulé
qu'il en a vu de toutes les couleurs ! Au fur et à mesure de sa transformation
en Masque
stellaire de Monsieur Dame Daim, il a été photographié
sous toutes
les coutures ;
puis démonté pour les besoins de
Miadem ad rue, isnomed egal repme, la vidéo diffusée au
Musée de la Chasse en mai 2009 ; puis remonté en perles avant d'atteindre -
enfin - son ultime forme : celle que j'ai achevée hier après-midi.
La Constellation du Daim est débarrassée de toute perle. A partir de
maintenant et comme la Constellation de la chevrette, elle réagit à la
lumière noire.
Céquoidon 2010 : les feux de juillet
Céquoidon 2010
Alors, kecessa ??? […]
La jument dans le bois
Hier, le web' et moi avons fait l'aller-retour de Clermont-Ferrand à
Amplaing avec notre voiture toute fraîche.
Après avoir traversé les brumes du Limousin, nous avons bu un verre de rosé
d'Anjou puis chargé dans le coffre le squelette de Noisette, la
jument comtoise foudroyée dans les estives en juillet dernier.
Troisième leçon de gravure, résultats en images
En fait, la plaque de cuivre est une plaque de zinc... Et il faut souligner
le fait suivant : l'ancrage du métal demande bien plus d'attention que celui du
rhénalon ! J'ai bâclé cette étape pour le deuxième tirage de ma première
gravure "véritable", et voilà le résultat :
Il manque juste un tiers du dessin !!! Du coup, j'ai tenté un troisième tirage
en m'appliquant et ENFIN, j'ai réussi à obtenir quelque chose de potable.
Hallelujah !
Restent quelques points mal ancrés, ce qui signifie que je dois encore
progresser sur cette étape cruciale.