Dur retour à la réalité métropolitaine...

Ou plutôt universitaire !
Aaaaaaaaaaaaaah ! La fac...
L'année dernière ça a été un véritable calvaire de m'inscrire, et surtout d'obtenir une validation d'acquis convenable (ce que je n'ai pas eu, la présidente de la Commission étant une femme incompétente au possible et de surcroît débordée par le travail que lui imposent ses 15 000 casquettes – y’a pas que les politiques qui devraient être interdits de cumul de mandats).
Enfin, c’était ma première inscription depuis des années dans un établissement universitaire, il y avait la validation, il y a eu du retard alors que j'avais tout fait dans les temps…
Mais cette année, comme ce n’est qu’une réinscription, je me suis dit « ça va passer tout seul »…

Et bien en fait même pas.

Hier j’étais convoqué pour mon inscription administrative. Et jeudi prochain, il y aura le bilan pédagogique (nécessaire pour valider les notes de l’année précédente) pour lequel je n’ai pas reçu la convocation.
Bref, hier donc, je file à la formidable Université de Saint Denis pour l’inscription administrative. Et là on me dit que je dois faire d’abord le bilan pédagogique.

Bande de gros nazes monosynaptiques… Même les cafards ont plus de jugeotte. QI à -1000… Réflexion 0.
Même pas capables de donner les rendez-vous dans le bon ordre. Et puis les secrétaires pédagogiques n’ont pas eu le temps de faire la « bascule informatique »… Et puis c’est bien connu : un étudiant c’est jeune et con, ça vit aux crochets de ses parents, ça regarde les poils pousser dans la main. Alors pour les occuper, on les fait venir à la fac pour rien.

Au moins, pendant ce temps-là, ils ne sont ni délinquants, ni chômeurs.

Le jour où la France prendra correctement soin de sa jeunesse, alors elle aura enfin une possibilité de se sortir de sa merde. En attendant, moi j'ai de plus en plus envie de mettre les voiles vers un endroit où on ne se chie pas dans les bottes et où on se respecte un minimum.

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