Parenthèse sylvestre.

Demain matin je file avec la femme-nid galoper à travers des forêts suffisamment éloignées de Paris pour pouvoir être qualifiées de "sauvages". Nous allons glanerer ce que nous y trouverons, et elle en profitera pour me donner la taupe, la mésange, la chauve-souris, les coccinelles et le renard qu'elle m'a déjà ramassés : ne pas oublier la glacière.
Les femmes-nids sont des femmes formidables, peut-être un peu sorcières... Avec un peu de chance, on va même dormir dans le bois en écoutant la chouette hulotte.

A jeudi.

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