Hier fut une longue journée, elle commença par un passage éclair à Orly pour récupérer deux, je dis bien DEUX colis ! Et j'ai inspecté leur contenu hier soir en rentrant du joli travail.
Or donc, sont rentrées à la maison après quelques mois (à quelques années) passés sous les tropiques sud-américaines : la totalité des toiles sur châssis, dans un état impeccable... Et aussi la totalité des empressions, dont certaines "un peu" froissées ou déchirées. Mais rien de bien grave car elle l'étaient déjà naturellement. Un petit coup de presse, trois bouts de scotch et il n'y paraitra plus.
Par contre, j'ai aussi récupéré les dessins automatiques (faut que je fasse le compte) et là c'est aussi froissé, ce qui est moins drôle parce que ça n'a jamais été le but. De plus, il semblerait que certains dessins aient été décrochés sans ménagements parce que des bords sont déchirés, il restait aussi de la patafix par endroit, ce qui fait que ça s'est collé, ça a laissé des traces, etc.
Ce sont des choses sans doute rattrapable, et puis avec un peu de bidouille on n'y verra plus que du feu... Mais hier soir en voyant le bord de la Matoutou déchiré ou les coins de mon Grand jaguar tout cabossés, j'avais les glandes. Il faut bien le dire.
Donc quand j'aurai le temps (mouarf arf arf !), j'écrirai un jooOOOooli mail à mon cher Marcos mais aussi à son chef, pour lui faire bien comprendre combien j'aurai été déçu, et ce jusqu'à la fin, par ses méthodes de travail particulièrement merdiques. Décidément, ce jeune couillon ne mérite pas les fonctions qu'il occupe, à peine semble-t-il capable de faire du café et des photocops...
Voilà, il ne manque donc plus que les grandes toiles. Mais je suis déjà sûr d'une chose : plus jamais ça.