Et hop ! Deux de plus.

Ou plutôt deux de moins… Disons qu’il y a deux dessins de plus en plus, ou deux dessins en moins à faire en moins.
Vous m’suivez ?

Bien, le dessin d’ouverture de "Le chasseur et le trou" est FI-NI ! Il contient une image de tembé en bois serpent qui signifie "jaloux".

Petit rappel pour ceux qui suivent pas (oui ! Toi au fond ! Arrête de regarder les mouches voler !) : or donc, "Le chasseur et le trou" c’est l’histoire d’un saramaca coiffé comme Coluche qui part à la chasse. Pendant sa promenade, il découvre un trou, dont il sortira un tapir, un homme et un serpent. Parce qu’il est gentil ce type. Vraiment.
Le tapir est super sympa, le serpent aussi d’ailleurs : ils sauveront le chasseur d’une condamnation à mort décidée par le roi-même. Par contre, le mec qu’il a sauvé du trou est jaloux de sa proximité avec les animaux et de ce que ça implique (c’est un très bon chasseur car les animaux l’aident à nourrir sa famille) : alors il lui fait un coup de pute et va raconter des bobards au roi… Qui du coup décide de condamner le chasseur à mort…



Heureusement, tout se finit bien pour le chasseur parce qu’il va même épouser la fille de roi !
Je vous l’ai fait courte parce que dans le livre ce sera bien mieux raconté…

Plus que trois dessins A4 et une dizaine de bandeaux… Si ça continue comme ça, j’aurai tout bouclé en 15 jours. Alors, elle est pas belle la vie ?

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