Hier, l'Université de Saint Denis était bloquée. Le mouvement se durcit et
c'est bien normal, puisque les revendications des étudiants comme des
enseignants n'ont pas été écoutées... J'adhère donc complètement au mouvement,
mais en pratiquant la grève active : ce qui veut dire que je n'arrête pas de
bosser.
Hier donc, j'ai réussi à contourner les barrages pour aller voir ma directrice
de recherche : il fallait absolument que je sache si elle était d'accord avec
mon inversion de plan.
Bonne nouvelle, elle est d'accord. Mauvaise nouvelle, je dois rendre mon
mémoire le 19 mai pour correction, de façon à le déposer le 5 juin et passer ma
soutenance pour la fin du Printemps (ou le début de l'été). C'est à dire que
j'ai 20 jours pour finir ma rédaction... A ce niveau-là, c'est un miracle que
j'ai besoin !. Mais il ne faut pas être pessimiste, alors je vais tenter le
coup.
J'entre donc demain dans une période intense de travail. Demain parce
qu'aujourd'hui, je retourne voir Marion Laval-Jeantet pour faire l'interview
d'ANTENNAE ; et cette après-midi, je fais la transcription. Que de bonnes
choses en perspective.
Toutes les bonnes ondes sont les bienvenues !
1 De la dame -
ben, t'as pas un anti spam contre les mauvaises ondes ?
2 De Ondine -
En voici une bonne, ce soir minuit tu fermes la boutique ici, plus de blog, plus d'internet et tu bosses. Courage, tu peux compter sur moi. :-D
3 De Jules -
Oh ! Si je commence à entendre parler les ondes... Hihi !
La dame : pffff... Ça n'existe pas ! Quel dommage.
4 De AnnC -
Je sais que je vais encore faire ma vieille chieuse mais c'est ce qui arrive quand on se disperse un peu trop. Il me semble que tu aurais du faire une pause un peu plus conséquente niveau production artistique.
5 De Jules -
AnnC : tu as complètement raison. Je n'ai fait que récolter ce que j'ai semé... Au fait ! T'es où toi cette semaine ?
6 De AnnC -
J'étais à Argenteuil, je retourne à Ivry ce soir mais je repars en Ariège dimanche.