" L’exposition lightcycles est le fruit d’une expérience proposant
à des artistes de créer ou développer des œuvres autonomes sous deux sources
d’éclairages distinctes : lumière blanche, conventionnelle, et lumière noire,
révélatrice, propre au monde du spectacle et aux recherches scientifiques.
L’alternance de ces deux états cycliques est déterminée par un dispositif
interactif évaluant l’impatience du spectateur et son besoin d’immédiateté.
Plus ceux-ci seront jugés comme élevés, plus le cycle noir mettra du temps à se
déclencher. Le public sortira alors d’une certaine conformité et pourra saisir
des tubes de lumière noire afin d’explorer les métamorphoses des œuvres,
ouvertures vers des significations multiples, des niveaux de lecture
cachés.
Rassemblées par une proposition expérimentale, les œuvres questionneront nos
perceptions en tant qu’observations sensibles du monde, d’autant plus sensibles
qu’elles seront réactives à un environnement changeant. Elles agiront alors
comme un pont entre deux réalités duales mais complémentaires et indissociables
pour s’ouvrir à une perception et une compréhension plus complètes, globales et
complexes."
Par ici,
un article du Zèbre et en annexes, le PDF de la plaquette.
Lightcycles chez Tribal Act jusqu'à la mi-avril
Nous (Qile Wang, Silvia Salazar, Frédéric Pavageau, Sonia Foulc, Corinne
Laurent Dell'Accio et moi) devons à Édouard Sufrin d'avoir mis l'exposition en
place, je lui doit les quelques photos qui vont suivre.
Petite visite virtuelle et flash-back sur le vernissage photographié par
Édouard.
1 De Marie -
Je repense à une expérience de lumière noire dans une grotte. Pas question de montrer son impatience à regarder et voir, c'est curieux comme effet ... :-)
2 De Jules -
Marie : Musée de Niaux, c'est ça ?
3 De modele (canada) -
voilà, c'est juste un commentaire pour te dire que j'apprécie beaucoup de te lire.