Le
colloque du week-end passé rassemblait les conditions idéales pour que ma
première expérience de contribution soit agréable : un cadre chaleureux,
une ambiance décontractée mais studieuse, une alternance d'interventions, de
projections vidéos et de performances dansées (la performance du
"devenir-animal" des élèves du conservatoire de Paris dirigés par Nadia Vadori
par exemple).
Et puis il fut beaucoup question de danse, un domaine d'expression artistique
qui enrichira très certainement la thèse à venir.
Je retiens le butô expliqué par Sylviane Pagès (j'avais vu Dobu des
Airakudakan à la Maison de la culture du Japon fin 2009), le Kalarippayatt
décrypté par Katia Légeret, entre autre.
Un acte du colloque devrait être publié ultérieurement, je vous tiendrai au
courant.
1 De la dame -
Kalarippayatt, rien que de prononcer le mot est déjà très énergisant ! Cécile Gordon en a fait une démo très convaincante.
2 De Marie -
Non pas hurler ! pas frapper ! j'ai failli te proposer "la danse des canards", laqués bien sûr ! ce n'est pas nippon ... ni sub-t'île.
3 De Jules -
La dame : tout à fait d'accord.
Marie : no comment, mouah ah ah !