Vente aux enchères de la collection Elie-Lefebvre

C'était hier à l'espace Richelieu-Drouot, et j'ai pu m'offrir quelques taxidermies de la deuxième moitié du XIXème siècle, dont ce magnifique coq de roche.

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Des histoires d'explorateurs aillant ramené de leurs explorations quelques spécimens d'oiseaux exotiques... Autant dire que j'ai bavé devant de magnifiques pièces - dont un ensemble de coquettes et quelques paradisiers... Mais j'ai bien vite compris qu'elles étaient totalement hors d'atteinte pour un budget tel que le miens !
Voici quand même le coq de roche que j'ai réussi à grappiller.

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Il faut dire qu'il a bien perdu ses couleurs ! Enfin, c'est grâce à ce défaut majeur que l'oiseau pose sur mon bureau en ce moment-même. Et puis, je me fiche royalement qu'il soit presque tout blanc : un coup d'avion, et je le vois en vrai, l'orange éclatant des coqs de Kaw !

En tout cas, cet oiseau empaillé ouvre les perspectives des travaux sur l'espèce : d'un coté les broderies, de l'autre les photos et films, maintenant une taxidermie. Que vais-je en faire ? Sans doute un oiseau lunaire, pour trancher avec le solaire que dégagent les oiseaux de leur vivant.
Reste à choisir la couleur des strass.

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