La Nuit Blanche proposait un parcours de huit hotspots à travers la
ville.
Au Musée, Marianne Rautureau a parsemé ses bijoux dans les vitrines, et le
hibou de Ketty Sean semblait s'être perdu au beau milieu d'une grande
salle.
Delphine Pouillet a envahi la serre des jardins de l'Hôtel de Ville et l'entrée
du théâtre à l'étage duquel trônait la mystérieuse Garde de Romain
Métivier.
Les papiers peints vintage de la Maison Claveul ont servi d'écrin aux
photographies sonores de David Lebreton - au rez-de-chaussée - et aux fleurs
caustiques de Pierre Fraenkel - à l'étage.
Sylvie Réno a installé ses armes de carton dans la salle
des mariages du Palais de la barre Ducale.
Vincent Carlier a posé son impressionnante Turlutte japonaise dans la
Maison Bertrand.
Les encastrables ont construit leur arche au milieu d'une fontaine.
Et puis enfin, Stéphane Protic a métamorphosé la Chapelle avec des sacs
poubelle et une souffleuse.
Le résultat était stupéfiant. La Chapelle est un challenge pour ceux qui s'y
colle, et Stéphane s'en est sorti à merveille. Faire de l'intérieur d'un lieu
sacré celui d'un sac poubelle quand même... !
Nous étions une trentaine d'artistes au total, pour ceux qui regrette d'avoir
loupé l'évènement le site fournit un bon récapitulatif.
Et vive la Province !
Les belles choses de la Nuit Blanche Mayenne
C'était donc la nuit du samedi 1er octobre dernier, et je reste sous le choc
de ce qu'a réalisé Stéphane Protic dans la Chapelle des Calvairiennes...
1 De la d@me -
Outch ! bon, comment aller de Paris à Mayenne :-)
2 De Marie -
La turlutte japonaise c'est pour attraper les sumo(torisés) ou bien des baleines ? Dangereux ....
:-) pour toi
3 De Jules -
La dame : faut prendre le train... Mais tu sais, la Nuit Blanche n'a duré qu'une nuit. C'est donc fini. Rendez-vous dans deux ans pour la prochaine !
Marie : la turlutte japonaise a pour proie le calamar géant d'après son artisan. TRÈS dangereux !!!